Les Poulets de l'Apocalyse
| Propriétés |
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| Nom de la Tribu : | Les Poulets de l'Apocalyse |
| Tag : | LPA |
| Nombre de membres : | 4 |
| Nombre de points des 5 meilleurs joueurs | 4.968 |
| Points totaux : | 4.968 |
| Moyenne de points : | 1.242 |
| Rang : | 73 |
| » Fiche de la tribu (page externe) |
Membres de la tribu
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| Description |
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LPA
 Les Poulets de l’Apocalypse
Tribu officielle des crêtes vengeresses
Autrefois de simples volailles de ferme, aujourd’hui les pires cauchemars des villages ennemis.
Nous ne savons ni voler, ni pondre de stratégie cohérente, mais notre chaos est contagieux. Nous attaquons au lever du jour, quand les coqs chantent et les défenses dorment.
Nos troupes ? Des guerriers plumés, dressés à la dure sur les bancs de maïs. Nos catapultes ? Alimentées à la sueur de nos œufs. Notre devise ?
« Une plume, un pillage. »
Rejoins-nous si tu es prêt à semer la terreur dans les basses-cours ennemies. Ici, pas de place pour les poules mouillées.
À propos de notre chef : lejeuneloup
alias Le Grand Crêté, est notre chef incontesté, auto-proclamé, et probablement non élu.
Il dirige la tribu depuis son perchoir royal, un vieux tonneau retourné couvert de paille sacrée. Il parle peu… mais quand il parle, on ne comprend pas toujours.
Stratège approximatif mais charismatique comme un coq sous Red Bull, il prend ses décisions à pile ou face – sauf quand la pièce tombe dans la boue.
Il est connu pour ses discours enflammés (« ON VA TOUS LES RÔTIR ! »), ses plans de guerre griffonnés sur des coquilles d’œufs, et son incroyable capacité à se perdre dans sa propre ferme.
Mais malgré tout… Loup reste le cœur battant de la tribu. Un peu comme un pacemaker en mode aléatoire.
Niveau de sérieux : Omelette Norvégienne
Qui sommes-nous ?
Autrefois coincés dans une basse-cour sans horizon, nous avons brisé nos chaînes.
Les autres tribus ont des épées. Nous avons des becs, des griffes… et une rage de volaille.
Nous ne prétendons pas être les meilleurs.
Mais on est sûrement les plus bruyants, les plus imprévisibles… et les seuls à attaquer en dansant la tektonik sur le champ de bataille.
Pourquoi nous craindre ?
Parce que quand le coq chante... c’est déjà trop tard.
Nos ennemis ne tombent pas sous nos lames.
Ils glissent… sur nos coquilles vides.
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